Première Partie: THOMAS ROBERT
Ce qu’en a pensé Patricia C. :
« Elliott Murphy nous a donné rendez-vous cette fois à Esch-sur-Alzette, au Luxembourg, un ancien bastion de la sidérurgie. C’est donc dans au milieu des hauts fourneaux que nous nous retrouvons, puisque c’est sur ce site que la salle de concert Rockhal a été construite. Impressionnant, ce paysage et ces cheminées. Il est 19h00 et je suis la 1ère devant la porte.
Mais remontons quelques heures plus tôt. Mon ami et moi avions fait le check-in à l’hôtel Mercure et déposé les valises dans la chambre. Il est 16h30. Je descends demander à l’accueil où se trouve la salle de concert et j’entends la voix de, devinez qui ? Oui Elliott ! Il venait de se présenter à la réception ! Quelle surprise extraordinaire ! Je ne m’attendais pas à le voir dans cet hôtel. Le pur hasard voulait que nous nous retrouvions dans un même hôtel pour la 3ème fois !! Evidemment, embrassades et « papotage » !! Entre temps, Olivier, Alan et Laurent nous rejoignent. Je les laisse s’enregistrer tranquillement et sors me promener en centre ville.
9h00 donc. Il nous faudra attendre une heure dans le froid avant l’ouverture des portes, traverser une immense salle (genre showroom) avant d’atteindre la salle où aura lieu le concert. En entrant, je remarque une barrière placée à environ 1,50m de la scène. Zut, je n’avais pas prévu ça. On fera avec. Il y a déjà le petit groupe de fans d’Elliott, les « happy few » qui assistent à toutes ses répétitions. J’en reconnais certains. On se salue. Je me place légèrement à droite, je serai entre Elliott et Laurent.
A 20h30 un jeune homme avec une guitare entre en scène. Elliott m’avait dit qu’il commencerait tôt, il a dû oublier qu’il y aurait une 1ère partie ! Ce jeune belge, Thomas Robert, est bien agréable à voir (beau mec, quoi !) et à écouter. Superbe voix, bonnes compos et une présence scénique incontestable. Très à l’aise et très drôle. Vraiment sympa. Il décrit certaines de ses chansons comme étant« atmosphériques » et nous fera une belle reprise des Clash, I fought the law. Durée de sa prestation : environ 35mn.
La salle continue à se remplir, mais ce n’est pas la grande foule.
A 21h30, c’est enfin au tour d’Elliott d’entrer en scène, suivi comme d’habitude par Olivier. Ils commencent par leur duo The Valley Below, j’avoue que ce n’est pas la chanson que je préfère. Très douce mais bizarre. Dès le morceau terminé, Alan et Laurent arrivent. The Normandy All Stars sont au complet et attaquent les hostilités avec Continental Kind of Girl. Le son de la salle est parfait. Bien fort et bien clair. Et je pénètre dans le monde merveilleux d’Elliott, comme dans la bulle de Clémentine (vous savez, le dessin animé des années 80). On s’y sent bien, on bouge, on chante, on danse, on vibre à l’unisson. C’est comme dans un rêve. Et on ne s’en lasse pas.
Elliott va nous interpréter ses classiques, A Touch of Mercy, Green River, Sonny (avec l’immuable chorégraphie des oiseaux). Avant de continuer avec Pneumonia Alley, il mentionne une conversation qu’il a eue avec sa maman qui n’arrivait pas à trouver le Luxembourg sur une carte tellement ce pays est petit. « Put on your glasses, Mum ! ». Et rapporte sa réflexion : « Good things come in small packages ».
Elliott est en verve ce soir ! Il a du mal à ouvrir une bouteille de boisson qui a une pastille protectrice et s’exclame « They put preservatives everywhere ! ».Il nous propose une nouvelle chanson, The Eternal Highway, qu’il a écrite lors de sa dernière tournée en Norvège.
Puis il nous explique comment il a composé une chanson d’après un rêve qu’il avait fait (un
cauchemar en fait puisqu’il rêvait qu’il avait raté un concert des Rolling Stones suite à une panne de voiture alors qu’il avait payé le billet une fortune). Dans ce rêve, Mick Jagger chantait une chanson. Elliott s’en est souvenu à son réveil et c’est devenu Mick’s Dream.
Une chanson non habituelle non plus, From Room 102, écrite il y a 10 ans à Ferrara, en Italie. Elliott nous la chante ce soir car le hasard a voulu qu’il soit à nouveau dans une chambre d’hôtel n° 102 (je confirme, j’étais là quand on lui a donné la clé !!). Ce qui n’était jamais plus arrivé.
Olivier et Elliott font leurs joutes à la guitare, ils s’éclatent vraiment sur scène. Il y a une vraie complicité entre eux, y compris avec Alan et Laurent. Le plaisir qu’ils ont à jouer est communicatif. Les concerts d’Elliott sont jubilatoires. Et les solos d’Olivier toujours impressionnants. Quel talent (petite pensée pour Sylvie…).
Nous aurons aussi le bonheur d’écouter You Never Know What You're in For, Last of the Rock Stars, On Elvis Presley’s birthday, bien sûr et le magnifique Diamonds by the Yard... Un bijou..
23h20 : premier break. Elliott revient, il a ôté chapeau et chemise, mais gardé le bandana et le gilet. Tradition oblige !!
D’abord Rio Grande revisited, puis Come on Louann, avant de passer en mode unplugged avec les Normandy All Stars qui rejoignent Elliott sur le devant de la scène pour faire les chœurs sur Anastasia, suivi de Sicily, en version incomplète car Elliott a oublié les paroles à la fin !
Mais remontons quelques heures plus tôt. Mon ami et moi avions fait le check-in à l’hôtel Mercure et déposé les valises dans la chambre. Il est 16h30. Je descends demander à l’accueil où se trouve la salle de concert et j’entends la voix de, devinez qui ? Oui Elliott ! Il venait de se présenter à la réception ! Quelle surprise extraordinaire ! Je ne m’attendais pas à le voir dans cet hôtel. Le pur hasard voulait que nous nous retrouvions dans un même hôtel pour la 3ème fois !! Evidemment, embrassades et « papotage » !! Entre temps, Olivier, Alan et Laurent nous rejoignent. Je les laisse s’enregistrer tranquillement et sors me promener en centre ville.
9h00 donc. Il nous faudra attendre une heure dans le froid avant l’ouverture des portes, traverser une immense salle (genre showroom) avant d’atteindre la salle où aura lieu le concert. En entrant, je remarque une barrière placée à environ 1,50m de la scène. Zut, je n’avais pas prévu ça. On fera avec. Il y a déjà le petit groupe de fans d’Elliott, les « happy few » qui assistent à toutes ses répétitions. J’en reconnais certains. On se salue. Je me place légèrement à droite, je serai entre Elliott et Laurent.
A 20h30 un jeune homme avec une guitare entre en scène. Elliott m’avait dit qu’il commencerait tôt, il a dû oublier qu’il y aurait une 1ère partie ! Ce jeune belge, Thomas Robert, est bien agréable à voir (beau mec, quoi !) et à écouter. Superbe voix, bonnes compos et une présence scénique incontestable. Très à l’aise et très drôle. Vraiment sympa. Il décrit certaines de ses chansons comme étant« atmosphériques » et nous fera une belle reprise des Clash, I fought the law. Durée de sa prestation : environ 35mn.
La salle continue à se remplir, mais ce n’est pas la grande foule.
Elliott va nous interpréter ses classiques, A Touch of Mercy, Green River, Sonny (avec l’immuable chorégraphie des oiseaux). Avant de continuer avec Pneumonia Alley, il mentionne une conversation qu’il a eue avec sa maman qui n’arrivait pas à trouver le Luxembourg sur une carte tellement ce pays est petit. « Put on your glasses, Mum ! ». Et rapporte sa réflexion : « Good things come in small packages ».
Elliott est en verve ce soir ! Il a du mal à ouvrir une bouteille de boisson qui a une pastille protectrice et s’exclame « They put preservatives everywhere ! ».Il nous propose une nouvelle chanson, The Eternal Highway, qu’il a écrite lors de sa dernière tournée en Norvège.
cauchemar en fait puisqu’il rêvait qu’il avait raté un concert des Rolling Stones suite à une panne de voiture alors qu’il avait payé le billet une fortune). Dans ce rêve, Mick Jagger chantait une chanson. Elliott s’en est souvenu à son réveil et c’est devenu Mick’s Dream.
Une chanson non habituelle non plus, From Room 102, écrite il y a 10 ans à Ferrara, en Italie. Elliott nous la chante ce soir car le hasard a voulu qu’il soit à nouveau dans une chambre d’hôtel n° 102 (je confirme, j’étais là quand on lui a donné la clé !!). Ce qui n’était jamais plus arrivé.
Olivier et Elliott font leurs joutes à la guitare, ils s’éclatent vraiment sur scène. Il y a une vraie complicité entre eux, y compris avec Alan et Laurent. Le plaisir qu’ils ont à jouer est communicatif. Les concerts d’Elliott sont jubilatoires. Et les solos d’Olivier toujours impressionnants. Quel talent (petite pensée pour Sylvie…).
Nous aurons aussi le bonheur d’écouter You Never Know What You're in For, Last of the Rock Stars, On Elvis Presley’s birthday, bien sûr et le magnifique Diamonds by the Yard... Un bijou..
23h20 : premier break. Elliott revient, il a ôté chapeau et chemise, mais gardé le bandana et le gilet. Tradition oblige !!
D’abord Rio Grande revisited, puis Come on Louann, avant de passer en mode unplugged avec les Normandy All Stars qui rejoignent Elliott sur le devant de la scène pour faire les chœurs sur Anastasia, suivi de Sicily, en version incomplète car Elliott a oublié les paroles à la fin !
23h48 : fin du concert. On est loin des 4 heures de Verviers, mais c’était un excellent concert. Elliott attendra ses fans à la sortie de la salle, assis sur une table. J’en profiterai pour lui faire dédicacer son livre « Poetic Justice », lui refaire la bise et échanger encore quelques mots. Je suis impressionnée par sa gentillesse. J’ai vraiment beaucoup d’admiration pour cet artiste, d’affection aussi. Bon, je l’avoue, je suis une vraie fan ! Mais très respectueuse.
Le mot de la fin reviendra à un membre de la sécurité qui, en évoquant le public pas très nombreux de cette petite salle (je découvrirai qu’il y a une salle contenant 6000 personnes à côté), me dira « il mérite beaucoup mieux ». »
Le mot de la fin reviendra à un membre de la sécurité qui, en évoquant le public pas très nombreux de cette petite salle (je découvrirai qu’il y a une salle contenant 6000 personnes à côté), me dira « il mérite beaucoup mieux ». »
Elliott Murphy est un auteur-compositeur-interprète, musicien et écrivain américain. Lorsque "Aquashow", le tout premier album d'Elliott, sort en novembre 1973 sur le label Polydor, les critiques unanimes lui réservent un accueil triomphal. On voit fleurir des articles dans des journaux aussi prestigieux que Rolling Stone, Newsweek, The New Yorker... Radios et télévisions enfoncent le clou et consacrent ELLIOTT comme le nouveau Dylan, le nouveau Lou Reed ou le F. Scott Fitzgerald du Rock'n'roll. Musicien talentueux et humble. Depuis la fin des années 80, Elliott Murphy vit en parfait 'Américain à Paris' et parcourt l’Europe, enchaînant un nombre impressionnant de concerts. Il s'est affirmé comme un formidable artiste de scène sur lesquelles il a l'habitude de se donner sans compter. C'est une imagerie , un temps déjà vécu , qui inspirent ces chansons où on relève des noms, voire même des phrases, un style. Toujours nostalgiques, jamais franchement rétro... Bruce Springsteen l'appelle son 'frère de sang' et Garland Jeffries ou Iain Matthews pourraient en dire autant. Il s'impose désormais en figure légendaire du folk rock américain. Un concert d'Elliot Murphy, c'est toujours un moment d'une rare intensité.
(www.myspace.com/elliottmurphy) (http://www.myspace.com/olivierdurand) 1. Aquashow (Polydor 1973)
2. Lost Generation (Rca 1975) Version Cd En 1990
3. Night Lights (Rca 1976) Version Cd En 1990
4. Just A Story From America (Columbia 1977) Version Cd En 1990
5. Affairs (Courtisane 1980) Version Cd En 1990 (New Rose) Et 1996 (Musidisc)
6. Murph The Surf (Courtisane 1982)Version Cd En 1988 (New Rose) Et 1996 (Musidisc)
7. Milwaukee (New Rose 1986) Version Cd En 1990
8. Change Will Come (New Rose 1987)
9. Party Girls And Broken Poets (Wea 1984) Version Cd En 1984 (Déjàdisc)
10. Live Hot Point (New Rose 1991) Version Cd En 1991 Et 1996 (Musidisc)
11. Apres Le Deluge (New Rose 1987) Version Cd En 1996
12. "12" (New Rose 1990)
13. If Poets Were King (New Rose 1992) Version Cd En 1996 (Musidisc)
14. Diamonds By The Yard (Razor & Tie 1992)
15. Unreal City (Razor & Tie 1993)
16. Paris/New York (New Rose 1993)
17. Selling The Gold (Musidisc 1995)
18. Going Through Something (Déjàdisc 1996)
19. Beauregard (Last Call 1998)
20. April - Live - (Last Call 1999)
21. Rainy Season (2000)
22. La Terre Commune - With Ian Mathews - (Last Call 2001)
23. Last Of The Rock Stars... And Me And You With The Rainy Season Band (Last Call 2001)
24. Live In Solingen - With Ian Mathews - (Last Call 2001)
25. Soul Surfing/ Rainy Season (Last Call 2002)
26. Soul Surfing/ The Next Wave (Last Call 2002)
27. Murph The Surf (2002 Nouvelle Version De L'album De 1982 Avec Nouvelle Jaquette Et 1 Morceau Suppl.))
28. Live In Wredenhagen (Last Call 2003)
29. Vintage Series Vol.1 (Last Call 2003)
30. Lost Generation + Night Lights + Double Album Nouvelle Version Des Disques De 75-76 Avec 11 Bonus (Last Call 2003)
31. Vintage Series Vol. 2 (Last Call 2003)
32. Strings Of The Storm - Double Cd (Last Call 2003)
33. Vintage Series Vol. 3 (Last Call 2004)
34. Vintage Series Vol. 4 (Last Call 2004)
35. Vintage Series Vol. 5 (Last Call 2004)
36. Vintage Series Vol. 6 (Last Call 2005)
37. Vintage Series Vol. 7 (Last Call 2005)
38. Vintage Series Vol. 8 (Last Call 2005)
39. Never Say Never - The Best Of 1995-2005... And More (Last Call 2005)
40. Murphy Gets Muddy (Last Call 2006)
41. Coming Home Again (Last Call 2007)
42. Notes From the Underground (Last Call 2008)
43. Alive In Paris (Last Call 2009)- CD/DVD
Elliott Murphy: Vocal & Guitar
Olivier Durand: Lead Guitar & Vocals
Alan Fatras: Drums, Percussions & Vocals (ex-Moon Martin)
Laurent Pardo: Bass, Cello & Vocals
(ex-Kid Pharaon)
Olivier Durand: Lead Guitar & Vocals
Alan Fatras: Drums, Percussions & Vocals (ex-Moon Martin)
Laurent Pardo: Bass, Cello & Vocals
(ex-Kid Pharaon)
1. The Valley Below (Elliott & Olivier)(Notes From The Underground - 2008)
2. Continental Kind Of Girl (Murph the Surf - 1982)
3. A Touch of Mercy (Lost Generation - 1975)
4. Green River (Strings Of The Storm – 2003)
5- Sonny (Beauregard - 1998)
6. Pneumonia Alley (Coming Home Again – 2007)
7. The Eternal Highway (New Song)
8. Mick's Dream (Strings On The Storm - 2003)
9. Rain Rain Rain (New Song)
10. You Never Know What You're In For (Live Hot Point – 1989)
11. Last Of The Rock Stars (Aquashow – 1973)
> Shout (Cover The Isley Brothers) > Last Of The Rock Stars (Aquashow – 1973)
12. From Room 102 (Strings On The Storm - 2003)
13. The Day After Valentine's Day (Rainy Season - 2002)
14. On Elvis Presley's Birthday (12 – 1990)
15. A Touch Of Kindness (Coming Home Again – 2007)
16. And General Robert E.Lee (Notes From The Underground - 2008)
17. Diamonds By The Yard (Night Lights - 1976)
Encores
18. Rio Grande Revisited (If Poets Were King - 1991)
19. Come On Louann (Soul Surfing – 2002)
20. Anastasia (Unplugged) (Just A Story From America - 1977)
21. Sicily (Unplugged) (12 -1990)
2. Continental Kind Of Girl (Murph the Surf - 1982)
3. A Touch of Mercy (Lost Generation - 1975)
4. Green River (Strings Of The Storm – 2003)
5- Sonny (Beauregard - 1998)
6. Pneumonia Alley (Coming Home Again – 2007)
7. The Eternal Highway (New Song)
8. Mick's Dream (Strings On The Storm - 2003)
9. Rain Rain Rain (New Song)
10. You Never Know What You're In For (Live Hot Point – 1989)
11. Last Of The Rock Stars (Aquashow – 1973)
> Shout (Cover The Isley Brothers) > Last Of The Rock Stars (Aquashow – 1973)
12. From Room 102 (Strings On The Storm - 2003)
13. The Day After Valentine's Day (Rainy Season - 2002)
14. On Elvis Presley's Birthday (12 – 1990)
15. A Touch Of Kindness (Coming Home Again – 2007)
16. And General Robert E.Lee (Notes From The Underground - 2008)
17. Diamonds By The Yard (Night Lights - 1976)
Encores
18. Rio Grande Revisited (If Poets Were King - 1991)
19. Come On Louann (Soul Surfing – 2002)
20. Anastasia (Unplugged) (Just A Story From America - 1977)
21. Sicily (Unplugged) (12 -1990)
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